Les rencontres - difficiles
les adieux - plus encore
Le vent d'est a faibli
les cent fleurs se fanent
Le ver à soie, tant qu'il vit
déroulera sans cesse son fil
La bougie ne tarira ses pleurs
que brûlée et réduite encendres
Miroir du matin où pâlit
le nuage des cheveux
Chant de la nuit : écho glacé
dans la fraîcheur lunaire
D'ici jusqu'aux îles immortelles
la route n'est plus longue
Persévérant Oiseau Vert
veille sur notre voyage !